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mercredi 30 novembre 2011

je couperai la main aux semeurs de trouble

ABDOULAYE WADE A SES OPPOSANTS
« JE COUPERAI LA MAIN A TOUTE PERSONNE QUI TENTERAIT DE SEMER LE DÉSORDRE»
Que ses opposants et pourfendeurs se le tiennent pour dit. Wade, sur le pied de guerre suspend son sabre sur la tête de certains de ses opposants qui tenterait de semer le désordre. Pis, il est prêt à couper la main à ceux qui le défieront.

Les déclarations faites par Abdoulaye Wade hier lors de l’inauguration de l’extension du terminal à conteneur hier, au port autonome de Dakar ne rassurent pas un climat de paix en cette période post-doctorale. Après avoir expliqué ces projets pour le port de Dakar, Wade, secrétaire général du parti démocratique sénégalais a aussitôt changé de veste. Avec un ton sec et menaçant, il a mis en garde ses opposants. « Il y a des groupes de personnes et d’hommes politiques qui cherchent à semer le désordre au Sénégal. Je vous assure que ce pays ne renflammera jamais à cause de leur mauvaise volonté » explique Abdoulaye Wade dont la candidature à l’élection présidentielle est vigoureusement contestée par des membres de la société civile et des partis de l’opposition. Devant des militants qui sursautent de joie de voir leur leader, le père du sopi interdit un certain comportement attisant des troubles à l’ordre public. « Je ne comprend pas pourquoi quelqu’un qui ne veut pas manger un plat se décide d’y jeter du sable pour empêcher les autres un bon repas » s’étonne Abdoulaye Wade.  Qui menace « je suis prêt et je couperai la main à toute personne qui tenterait un tel exercice au Sénégal ». Si certains militants ont sauté de joie pour applaudir leur chef, d’autres se sont contentés d’écarquillé leurs yeux pour dire que cette déclaration est trop pour un chef d’Etat partisan de la paix et du dialogue.  Le président Wade dit aussi ne pas comprendre les agissements des uns et des autres tous les jours. « Nous sommes dans un pays de droit. Si un citoyen a à se plaindre, il peut s’adresser à un ministre. Si ce dernier ne satisfait pas à sa demande, il peut s’ouvrir au premier ministre. Et si ce dernier ne régle rien, en ce moment le plaignant peut me voir. Et je regle sur place sa demande » a dit Abdoulaye Wade.  

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